Author: Closermag.fr
Impossible pour elle de passer inaperçue avec son visage totalement couvert de tatouage. Melissa Sloan est une vraie obsédée des tatouages. Et à cause de sa passion démesurée pour l’encre de Chine, son visage est devenu bleu. Ce n’est pas pour autant qu’elle compte s’arrêter là, dévoile la mère de deux enfants de 46 ans, originaire du Pays de Galles, au Daily Star. Melissa “Missy” Sloan a commencé à se faire tatouer au début de la vingtaine. Les dessins de lapins de Playboy et de crucifix qu’on voit sur son visage, Melissa avait commencé à se les faire tatouer il y a dix ans.
Malheureusement, Melissa Sloan, 46 ans, a tellement abusé de l’aiguille que maintenant, il ne lui reste plus la moindre place sur son visage pour se faire tatouer un énième dessin. Dans son témoignage exclusif, paru le 4 juin 2023, accordé au Daily Star, Melissa accepte malgré elle son sort. « C’est fini pour mon visage. Je ne peux plus rien faire – mon visage est devenu bleu. J’ai mis trois couches maintenant et je ne peux plus le faire parce que mon visage devient bleu”. La mère de famille accepte avec résignation en disant : « Je dois faire avec maintenant – je suis un Schtroumpf« .
Elle se fait 3 à 4 tatouages par semaine
Des visages atypiques, couverts de tatouages comme celui de Melissa, ce n’est pas tous les jours qu’on en rencontre dans les rues. Le surnom de Schtroumpf est la dernière en date pour Melissa. Auparavant, on l’avait déjà prise pour une braqueuse de banque, raconte-t-elle. Si quelques-uns lui ont demandé d’arrêter de se faire tatouer le visage, d’autres l’ont traitée de monstre devant ses deux enfants. La résignation de Melissa n’est que partielle. « J’ai eu un lapin Playboy dans le dos« , a-t-elle déclaré avant d’ajouter : “…je n’arrêterai jamais de me faire tatouer. Je ne vais pas m’arrêter et j’en ai encore trois ou quatre par semaine« . Les tatouages de Melissa ne sont pas sans conséquence sur sa vie. En effet, à cause de son look alternatif, elle n’a pas pu trouver de travail. Elle a également été exclue de la pièce de théâtre de la nativité de ses enfants, sans oublier les interdictions d’accès au pubs et salons de tatouage.