Author: Closermag.fr
Tout vire soudainement au drame lors de la première danse des nouveaux mariés pendant la réception de ce mariage qui s’est tenue dans une salle des fêtes, près de Mossoul, en Irak. Selon le bilan préliminaire annoncé par les autorités sanitaires, le 26 septembre 2023, au moins 100 personnes ont péri dans l’horrible incendie qui a ravagé le mariage. On compte aussi 150 blessés, dont 50 grièvement, selon les informations relayées par le Daily Mail. Le drame a eu lieu pendant que le couple, Haneen et Revan, était en train de danser un slow, comme on peut le voir sur les images partagées par le média britannique. En quelques secondes, l’incendie a tragiquement transformé la somptueuse salle des fêtes en une ruine, ravagée par le feu.
Selon le communiqué de la Défense civile cité par le Paris Match, l’incendie aurait été déclenché par des feux d’artifices qui auraient enflammé des panneaux en préfabriqué hautement inflammables. “Les informations préliminaires indiquent que des feux d’artifice ont été utilisés durant un mariage, ce qui a déclenché un incendie dans la salle”, peut-on lire dans le communiqué. Comme le précise Paris Match : “la chute de certaines parties du plafond, en raison de l’utilisation de matériaux de construction hautement inflammables et peu coûteux”. Les panneaux enflammés ont fait répandre de la fumée noire toxique plongeant les invités et les nouveaux mariés dans un brasier de l’enfer.
Mariage Cauchemardesque : les nouveaux mariés n’ont pas pu s’en sortir
Comme le précise le Daily Mail, il y avait quelque 900 invités dont beaucoup d’enfants dans la salle quand le feu s’est déclenché. Les flammes ont si rapidement grimpé aux murs pour enflammer les matériaux hautement inflammables qui ont commencé à tomber. La salle s’est remplie d’une fumée noire rendant impossible pour les personnes piégées dedans de trouver les sorties. Selon le Daily Mail, les nouveaux mariés font partie des personnes qui n’ont malheureusement pas survécu. “On ne voyait rien, on étouffait, on ne savait pas comment sortir”, raconte Rania Waad, 17 ans, une des rescapés.