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Monique Olivier manipulatrice ? Ce parloir piégé avec Michel Fourniret qui a dévoilé son vrai visage – Closer

Author: Closermag.fr

Depuis plusieurs jours, Monique Olivier est jugée par la cour d’assises des Hauts-de-Seine pour complicité dans l’enlèvement d’Estelle Mouzin et le meurtre de deux autres jeunes filles. Depuis que son mari est mort en prison en 2021, celle que l’on surnomme la femme de l’ogre des Ardennes doit répondre seule devant la justice. Pendant 20 ans, aux côtés de son mari, elle a participé à des enlèvements et à des meurtres commis en France et en Belgique. Monique Olivier était-elle soumise à un époux meurtrier ou était-elle une manipulatrice ? Sur TFX, dans un numéro intitulé Monique Olivier : dans la tête de la femme de Fourniret, le magazine Chroniques criminelles a retracé le portrait de celle qui est âgée, aujourd’hui, de 75 ans.

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Ce samedi 2 décembre, dans Chroniques criminelles, Jacques Pradel est revenu sur la personnalité de Monique Olivier. En 2003, lorsqu’elle est arrêtée par la police belge, elle montre le visage d’une femme discrète. “Quand on rencontre Monique Olivier, on a l’impression d’une grande mollassonne, de quelqu’un qui n’a pas une forte personnalité, qui n’a pas grand-chose à dire”, a expliqué Didier Seban, avocat des parties civiles. Lors des interrogatoires, Monique Olivier va rester prostrée. Les enquêteurs ne parviendront pas à la faire parler. “Cela faisait des heures et des heures qu’elle était sur sa chaise, sans bouger, sans boire, sans se lever, sans aller au petit coin, sans s’alimenter, rien”, se souvient Francis Nachbar, procureur de la république de Charleville-Mézières au moment des faits. Au bout d’un an d’interrogatoire, les policiers vont décider de la piéger.

Monique Olivier : piégée par la police belge qui va découvrir son vrai visage

Le magazine Chroniques criminelles a révélé le piège tendu à Monique Olivier par les policiers belges qui avaient installé des micros dans le parloir lorsqu’elle visitait son mari. “On entend Monique Olivier qui se révèle telle qu’elle est : une maitresse-femme, sûre d’elle, et qui dicte à Fourniret sa ligne de conduite. Elle plus raisonnée, plus intelligente que Michel Fourniret”, a détaillé Francis Nachbar. Confrontée aux enregistrements audio, Monique Olivier va finir par avouer le meurtre de deux jeunes filles, prénommées Céline et Manyana, dont les corps avaient été retrouvés en Belgique en 2000 et 2001. Trois jours plus tard, Monique Olivier avouera sa participation active dans six autres meurtres. Ce sera le début de ce que l’on a appelé “l’affaire Fourniret”.

Author: Closermag.fr

Depuis plusieurs jours, Monique Olivier est jugée par la cour d’assises des Hauts-de-Seine pour complicité dans l’enlèvement d’Estelle Mouzin et le meurtre de deux autres jeunes filles. Depuis que son mari est mort en prison en 2021, celle que l’on surnomme la femme de l’ogre des Ardennes doit répondre seule devant la justice. Pendant 20 ans, aux côtés de son mari, elle a participé à des enlèvements et à des meurtres commis en France et en Belgique. Monique Olivier était-elle soumise à un époux meurtrier ou était-elle une manipulatrice ? Sur TFX, dans un numéro intitulé Monique Olivier : dans la tête de la femme de Fourniret, le magazine Chroniques criminelles a retracé le portrait de celle qui est âgée, aujourd’hui, de 75 ans.

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Ce samedi 2 décembre, dans Chroniques criminelles, Jacques Pradel est revenu sur la personnalité de Monique Olivier. En 2003, lorsqu’elle est arrêtée par la police belge, elle montre le visage d’une femme discrète. “Quand on rencontre Monique Olivier, on a l’impression d’une grande mollassonne, de quelqu’un qui n’a pas une forte personnalité, qui n’a pas grand-chose à dire”, a expliqué Didier Seban, avocat des parties civiles. Lors des interrogatoires, Monique Olivier va rester prostrée. Les enquêteurs ne parviendront pas à la faire parler. “Cela faisait des heures et des heures qu’elle était sur sa chaise, sans bouger, sans boire, sans se lever, sans aller au petit coin, sans s’alimenter, rien”, se souvient Francis Nachbar, procureur de la république de Charleville-Mézières au moment des faits. Au bout d’un an d’interrogatoire, les policiers vont décider de la piéger.

Monique Olivier : piégée par la police belge qui va découvrir son vrai visage

Le magazine Chroniques criminelles a révélé le piège tendu à Monique Olivier par les policiers belges qui avaient installé des micros dans le parloir lorsqu’elle visitait son mari. “On entend Monique Olivier qui se révèle telle qu’elle est : une maitresse-femme, sûre d’elle, et qui dicte à Fourniret sa ligne de conduite. Elle plus raisonnée, plus intelligente que Michel Fourniret”, a détaillé Francis Nachbar. Confrontée aux enregistrements audio, Monique Olivier va finir par avouer le meurtre de deux jeunes filles, prénommées Céline et Manyana, dont les corps avaient été retrouvés en Belgique en 2000 et 2001. Trois jours plus tard, Monique Olivier avouera sa participation active dans six autres meurtres. Ce sera le début de ce que l’on a appelé “l’affaire Fourniret”.

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