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Mort d’Emile : un animal dangereux repéré non loin du Vernet, une nouvelle hypothèse ? – Closer

Author: Closermag.fr

Il n’avait donné aucun signe de vie depuis le 8 juillet 2023. Emile se trouvait dans le hameau du Haut-Vernet, en compagnie de ses grands-parents, lorsqu’il a mystérieusement disparu. Le petit garçon, âgé de seulement deux ans et demi au moment des faits, n’a donné aucun signe de vie pendant plusieurs mois. L’affaire a pris un nouveau tournant le 30 mars dernier lorsqu’une randonneuse a découvert un crâne. Les analyses ont permis d’affirmer qu’il s’agit bien de celui du petit garçon. Mais que lui est-il arrivé ? Plusieurs hypothèses ont été mises en avant dans cette affaire mais aucune n’a permis d’apporter de réponses concrètes. 

Selon les informations de BFMTV publiées ce mercredi 22 mai, un chacal doré a été aperçu dans les Alpes-de-Haute-Provence. Plusieurs habitants ont affirmé avoir vu l’animal autour du village de Montfuron. Une information qui est prise au sérieux puisque ce n’est situé qu’à une centaine de kilomètres du Haut-Vernet. Ce chacal pourrait-il être à l’origine de la mort d’Emile ? Aurait-il pu parcourir la distance qui sépare les deux villages en quelques semaines ? Pour rappel, l’hypothèse qu’Emile ait été victime d’un animal a été évoquée. 

Mort d’Emile : une affaire qui n’a pas encore été résolue

Le 30 mars dernier, l’affaire concernant la disparition d’Emile a pris un nouveau tournant. Le crâne du petit garçon a été retrouvé et, lors d’une conférence de presse, Jean-Luc Blachon a apporté des précisions.  Il a d’abord indiqué que “certains vêtements, un tee-shirt, des chaussures et une culotte” se trouvaient à proximité du crâne, “à 150 mètres” . Emile a-t-il été victime d’une mauvaise chute ? Des analyses approfondies ont été réalisées sur le crâne du petit garçon. Les résultats ont indiqué qu’il présente de “petites fractures et des fissures post-mortem”. Celles-ci peuvent laisser penser qu’un animal est passé par là.

Si le petit garçon a été victime d’une terrible chute, un animal sauvage aurait-il pu, par la suite, s’en prendre à son corps ? “Il y avait des traces de morsure, probablement causées par un ou des animaux”, a précisé Jean-Luc Blanchon, évoquant ainsi cette hypothèse. Seul le crâne d’Emile a été retrouvé, ce qui peut laisser penser que des animaux se sont amusés avec les os. Les ont-ils déplacés ? Agé de seulement deux ans et demi, le petit garçon n’aurait pas pu se défendre ou avoir pleinement conscience du danger s’il s’était retrouvé face à un animal sauvage. Aurait-il ainsi tenté de l’approcher ?

Mort d’Emile : le petit garçon victime d’une tragique chute ?

Depuis la découverte des ossements d’Emile, les hypothèses s’enchaînent. Toutefois, la plus probable pour les enquêteurs serait celle d’une mauvaise chute. Le crâne du bambin a été découvert à environ 2 kilomètres de son point de départ. A-t-il parcouru ce chemin ? “Tout est possible”, confie le procureur qui précise toutefois : “Mais je ne connais pas ses capacités à la marche”. Si Emile est parti tout seul, échappant à la surveillance de ses proches, où avait-il l’intention de se rendre ? Selon plusieurs habitants, il pouvait vouloir retourner au domicile de ses parents. S’est-il perdu avant de tomber tragiquement ?

L’hypothèse que des animaux aient pu déplacer les ossements d’Emile a été évoquée mais également confirmée par Stéphane Renaud, un dresseur comportementaliste canin. “Cela peut être envisageable, car dans le secteur du Parc Demontzey, et comme dans toutes les zones sauvages du département, énormément d’animaux circulent”, a-t-il confié dans les colonnes de La Provence. Il a ensuite précisé : “Il y a des renards, des sangliers, des blaireaux, un tas de petits rongeurs et même des loups, sans oublier des chiens errants”. A ce jour, aucune réponse précise n’a pu être apportée à Marie et Colomban. Leur seule certitude est qu’ils doivent faire le deuil de leur petit garçon.

Author: Closermag.fr

EN BREF

  • Emile, un petit garçon de deux ans et demi, a disparu le 8 juillet 2023 dans le hameau du Haut-Vernet, où il séjournait avec ses grands-parents.

  • Le 30 mars, une randonneuse a découvert le crâne d’Emile, confirmant son décès sans pour autant élucider les circonstances.

  • Les enquêtes suggèrent plusieurs hypothèses dont une mauvaise chute ou une attaque animale, mais aucune conclusion définitive n’a été atteinte.

Il n’avait donné aucun signe de vie depuis le 8 juillet 2023. Emile se trouvait dans le hameau du Haut-Vernet, en compagnie de ses grands-parents, lorsqu’il a mystérieusement disparu. Le petit garçon, âgé de seulement deux ans et demi au moment des faits, n’a donné aucun signe de vie pendant plusieurs mois. L’affaire a pris un nouveau tournant le 30 mars dernier lorsqu’une randonneuse a découvert un crâne. Les analyses ont permis d’affirmer qu’il s’agit bien de celui du petit garçon. Mais que lui est-il arrivé ? Plusieurs hypothèses ont été mises en avant dans cette affaire mais aucune n’a permis d’apporter de réponses concrètes. 

Selon les informations de BFMTV publiées ce mercredi 22 mai, un chacal doré a été aperçu dans les Alpes-de-Haute-Provence. Plusieurs habitants ont affirmé avoir vu l’animal autour du village de Montfuron. Une information qui est prise au sérieux puisque ce n’est situé qu’à une centaine de kilomètres du Haut-Vernet. Ce chacal pourrait-il être à l’origine de la mort d’Emile ? Aurait-il pu parcourir la distance qui sépare les deux villages en quelques semaines ? Pour rappel, l’hypothèse qu’Emile ait été victime d’un animal a été évoquée. 

Mort d’Emile : une affaire qui n’a pas encore été résolue

Le 30 mars dernier, l’affaire concernant la disparition d’Emile a pris un nouveau tournant. Le crâne du petit garçon a été retrouvé et, lors d’une conférence de presse, Jean-Luc Blachon a apporté des précisions.  Il a d’abord indiqué que “certains vêtements, un tee-shirt, des chaussures et une culotte” se trouvaient à proximité du crâne, “à 150 mètres” . Emile a-t-il été victime d’une mauvaise chute ? Des analyses approfondies ont été réalisées sur le crâne du petit garçon. Les résultats ont indiqué qu’il présente de “petites fractures et des fissures post-mortem”. Celles-ci peuvent laisser penser qu’un animal est passé par là.

Si le petit garçon a été victime d’une terrible chute, un animal sauvage aurait-il pu, par la suite, s’en prendre à son corps ? “Il y avait des traces de morsure, probablement causées par un ou des animaux”, a précisé Jean-Luc Blanchon, évoquant ainsi cette hypothèse. Seul le crâne d’Emile a été retrouvé, ce qui peut laisser penser que des animaux se sont amusés avec les os. Les ont-ils déplacés ? Agé de seulement deux ans et demi, le petit garçon n’aurait pas pu se défendre ou avoir pleinement conscience du danger s’il s’était retrouvé face à un animal sauvage. Aurait-il ainsi tenté de l’approcher ?

Mort d’Emile : le petit garçon victime d’une tragique chute ?

Depuis la découverte des ossements d’Emile, les hypothèses s’enchaînent. Toutefois, la plus probable pour les enquêteurs serait celle d’une mauvaise chute. Le crâne du bambin a été découvert à environ 2 kilomètres de son point de départ. A-t-il parcouru ce chemin ? “Tout est possible”, confie le procureur qui précise toutefois : “Mais je ne connais pas ses capacités à la marche”. Si Emile est parti tout seul, échappant à la surveillance de ses proches, où avait-il l’intention de se rendre ? Selon plusieurs habitants, il pouvait vouloir retourner au domicile de ses parents. S’est-il perdu avant de tomber tragiquement ?

L’hypothèse que des animaux aient pu déplacer les ossements d’Emile a été évoquée mais également confirmée par Stéphane Renaud, un dresseur comportementaliste canin. “Cela peut être envisageable, car dans le secteur du Parc Demontzey, et comme dans toutes les zones sauvages du département, énormément d’animaux circulent”, a-t-il confié dans les colonnes de La Provence. Il a ensuite précisé : “Il y a des renards, des sangliers, des blaireaux, un tas de petits rongeurs et même des loups, sans oublier des chiens errants”. A ce jour, aucune réponse précise n’a pu être apportée à Marie et Colomban. Leur seule certitude est qu’ils doivent faire le deuil de leur petit garçon.

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