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Gossip

Elle voit flou mais ne le dit pas à son père, l’issue est dramatique – Closer

Author: Closermag.fr

Abi Marie Dean menait une vie ordinaire, pleine de promesses et
de rêves, explique The Sun. Jeune adolescente de 18
ans, passionnée par la coiffure et entourée de l’amour de sa
famille, Abi avait un avenir brillant qui s’effaçait
lentement derrière un voile de flou
. Ce n’est que
tardivement qu’elle partagea avec son père, Martin, les troubles de
sa vision, une décision qui devait se révéler fatale.

Les mois avaient passé sans qu’Abi ne mentionne son problème de
vision à Martin, son père dévasté. Les restrictions liées à la
pandémie de COVID-19 avaient retardé sa visite chez
l’ophtalmologue, une décision qui, rétrospectivement, hantera
Martin pour le reste de sa vie. Ce n’est qu’à l’été 2021,
quatre mois après les premiers symptômes, qu’Abi consulta enfin un
spécialiste de la vue
, dévoilant une réalité médicale
implacable : un mélanome choroidal, une forme rare de
cancer de l’œil
.

“Elle a dit qu’elle ne voyait presque rien”

À ce moment-là, le mélanome avait déjà progressé de
manière importante
, mettant en péril la vie d’Abi de
manière irréversible. Martin se souvient avec amertume du jour où
sa fille lui avoua enfin sa détresse visuelle, comme si c’était
hier. “Elle a dit qu’elle ne voyait presque rien et
j’étais un peu en colère contre elle
“, a-t-il
expliqué, “Je lui ai demandé pourquoi elle n’avait rien dit
plus tôt. Elle m’a répondu qu’elle ne voyait pas
grand-chose.

Les médecins avaient alors affirmé qu’il y avait une
forte probabilité que la
radiothérapie
fonctionne
, une lueur d’espoir qui s’est
vite éteinte à mesure que le cancer progressait. Abi subit alors
cinq jours de traitement par radiothérapie, mais la maladie se
révéla implacable. L’œil affecté fut finalement retiré et
remplacé par un œil artificiel
, mais les tests
postopératoires révélèrent la cruelle vérité : le cancer
s’était déjà propagé aux poumons d’Abi, signant ainsi son
destin
.

“C’était une progression lente, mais
implacable”

La famille et les proches d’Abi, initialement rassurés par les
médecins, furent bientôt confrontés à une réalité brutale. Les
espoirs suscités par le traitement initial furent balayés par
la découverte de nouveaux foyers tumoraux,
condamnant progressivement la jeune femme à une issue tragique.
C’était une progression lente, mais
implacable
“, se souvient Martin. “Abi était une
battante, mais même, elle savait au fond d’elle-même qu’elle
n’allait pas survivre.

Giles Edmonds, de Specsavers (une entreprise d’opticiens),
souligne l’importance du dépistage précoce des
problèmes de vue
chez les jeunes
, un aspect souvent
négligé par les parents et les enfants eux-mêmes. “Les
signes révélateurs tels que se frotter les yeux fréquemment, des
maux de tête chroniques ou une lecture en dessous du niveau attendu
doivent être pris au sérieux
“, explique-t-il. Ces
symptômes, bien que facilement attribués à la fatigue ou à d’autres
facteurs, peuvent être les premiers indicateurs de problèmes de
vision sous-jacents, comme cela fut le cas pour Abi.

Author: Closermag.fr

EN BREF

  • Abi Marie Dean, 18 ans, a tardé à partager ses problèmes
    de vision avec son père, Martin, ce qui a conduit à un diagnostic
    tardif de mélanome choroidal, une forme rare de cancer de l’œil, en
    été 2021.
  • Le diagnostic tardif a entraîné une progression
    significative du cancer, nécessitant la radiothérapie et finalement
    le remplacement de l’œil affecté par un œil artificiel, avant de
    découvrir que le cancer s’était propagé aux poumons.
  • Giles Edmonds souligne l’importance du dépistage précoce
    des problèmes de vue, en mettant en avant des signes révélateurs
    comme se frotter les yeux fréquemment ou avoir des maux de tête
    chroniques.

Abi Marie Dean menait une vie ordinaire, pleine de promesses et
de rêves, explique The Sun. Jeune adolescente de 18
ans, passionnée par la coiffure et entourée de l’amour de sa
famille, Abi avait un avenir brillant qui s’effaçait
lentement derrière un voile de flou
. Ce n’est que
tardivement qu’elle partagea avec son père, Martin, les troubles de
sa vision, une décision qui devait se révéler fatale.

Les mois avaient passé sans qu’Abi ne mentionne son problème de
vision à Martin, son père dévasté. Les restrictions liées à la
pandémie de COVID-19 avaient retardé sa visite chez
l’ophtalmologue, une décision qui, rétrospectivement, hantera
Martin pour le reste de sa vie. Ce n’est qu’à l’été 2021,
quatre mois après les premiers symptômes, qu’Abi consulta enfin un
spécialiste de la vue
, dévoilant une réalité médicale
implacable : un mélanome choroidal, une forme rare de
cancer de l’œil
.

“Elle a dit qu’elle ne voyait presque rien”

À ce moment-là, le mélanome avait déjà progressé de
manière importante
, mettant en péril la vie d’Abi de
manière irréversible. Martin se souvient avec amertume du jour où
sa fille lui avoua enfin sa détresse visuelle, comme si c’était
hier. “Elle a dit qu’elle ne voyait presque rien et
j’étais un peu en colère contre elle
“, a-t-il
expliqué, “Je lui ai demandé pourquoi elle n’avait rien dit
plus tôt. Elle m’a répondu qu’elle ne voyait pas
grand-chose.

Les médecins avaient alors affirmé qu’il y avait une
forte probabilité que la
radiothérapie
fonctionne
, une lueur d’espoir qui s’est
vite éteinte à mesure que le cancer progressait. Abi subit alors
cinq jours de traitement par radiothérapie, mais la maladie se
révéla implacable. L’œil affecté fut finalement retiré et
remplacé par un œil artificiel
, mais les tests
postopératoires révélèrent la cruelle vérité : le cancer
s’était déjà propagé aux poumons d’Abi, signant ainsi son
destin
.

“C’était une progression lente, mais
implacable”

La famille et les proches d’Abi, initialement rassurés par les
médecins, furent bientôt confrontés à une réalité brutale. Les
espoirs suscités par le traitement initial furent balayés par
la découverte de nouveaux foyers tumoraux,
condamnant progressivement la jeune femme à une issue tragique.
C’était une progression lente, mais
implacable
“, se souvient Martin. “Abi était une
battante, mais même, elle savait au fond d’elle-même qu’elle
n’allait pas survivre.

Giles Edmonds, de Specsavers (une entreprise d’opticiens),
souligne l’importance du dépistage précoce des
problèmes de vue
chez les jeunes
, un aspect souvent
négligé par les parents et les enfants eux-mêmes. “Les
signes révélateurs tels que se frotter les yeux fréquemment, des
maux de tête chroniques ou une lecture en dessous du niveau attendu
doivent être pris au sérieux
“, explique-t-il. Ces
symptômes, bien que facilement attribués à la fatigue ou à d’autres
facteurs, peuvent être les premiers indicateurs de problèmes de
vision sous-jacents, comme cela fut le cas pour Abi.

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