Author: Closermag.fr
Jasper Philipsen donne bien des sueurs froides à ses adversaires du Tour de France. Né en 1998, le cycliste d’origine belge a gagné ses galons dans sa jeunesse en remportant plusieurs titres juniors dans l’épreuve consacrée des courses contre-la-montre. Ce fervent admirateur de Mark Cavendish compte aujourd’hui parmi « l’élite du peloton en Flandres « , soulignent nos confrères de Libération dans un portrait qu’ils lui consacrent. Personne ne l’a vu arriver, ou presque. En avril dernier, il arrivait en effet en deuxième position derrière Matthieu van der Poel au Paris-Roubaix, l’une de « ses courses préférées « car « pleine d’héroïsme « . Le sprinteur rêve ardemment de la gagner un jour…
Jasper Philipsen peut compter sur le soutien indéfectible de celle qui partage sa vie pour surmonter les épreuves à venir. D’origine belge elle aussi, Melanie Peetermans a trois ans de moins que son compagnon. Très présente sur Instagram, la jeune femme aime partager son quotidien avec ses plus de 4000 followers. En consultant son profil, on peut constater sa passion pour les voyages et les vêtements, mais aussi la découvrir dans des moments de farniente ou dans des fêtes. Melanie Peetermans aime également poster des photos avec son « idole « , que ce soit devant un coucher de soleil ou au bord de la mer. Son coeur bat aussi pour une toute autre personne, un adorable petit caniche qui la suit un peu partout.
La première supportrice de Jasper Philipsen
Supportrice n°1 de Jasper Philipsen, Melanie Peetermans relaie très régulièrement les actualités de son compagnon sur les réseaux sociaux. La jeune femme de 22 ans évoque notamment les faits marquants de sa carrière et s’implique ainsi dans sa vie professionnelle. Ses followers peuvent suivre les performances cyclistes du jeune prodige du Tour de France comme ses victoires en compétition. Ses posts encouragent d’autant plus les internautes à apporter à leur tour soutien à Jasper Philipsen, l’élu de son coeur depuis plusieurs années déjà. Une histoire d’amour qui s’écrit loin du bitume et des routes de France, à l’ombre des vélos.